La lettre à Helga à Paris

La lettre à Helga, 26 novembre 2018-23 décembre 2018, Théâtre de l’Epée de Bois – Cartoucherie Paris.

Du lundi 26 novembre au samedi 22 décembre à Théâtre de l’Epée de Bois – Cartoucherie La lettre à Helga Au crépuscule de sa vie le vieux Bjarni Gíslason répond enfin à la lettre d’Helga adressée il y a si longtemps et l’invitant à la rejoindre à Reykjavík. Au crépuscule de sa vie le vieux Bjarni Gíslason répond enfin à la lettre d’Helga adressée il y a si longtemps et l’invitant à la rejoindre à Reykjavík. Partager enfin cet amour fou né dans la bergerie un jour de palpation des moutons pour savoir lesquels passeraient l’hiver loin des ragots sur cet amour extra-conjugal. Mais le vieux refrain où il est dit : L’amour le plus ardent est l’amour impossible aurait-il raison ?

Auteur Bergsveinn Birgisson Traduction Catherine Eyjólfsson – Editions Zulma Mise en scène Claude Bonin Artisanat et actions artistiques Bénédicte Jacquard Avec Roland Depauw Création sonore live Nicolas Perrin Création vidéo Valéry Faidherbe Scénographie Cynthia Lhopitallier Création Lumière Vincent Houard Maquettisme Vaderetro Studio Production Le Château de Fable Coproduction La Strada et Cie / Les Bords de Scène

Théâtre de l’Epée de Bois

Cartoucherie Route du Champ de Manoeuvre 75012 Paris

Payant sur réservation

 

https://www.unidivers.fr/rennes/la-lettre-a-helga/

Expo Erró à Paris

Expo Erró à Paris

 

Du 14 septembre au 19 octobre Galerie Louis Carré & Cie 10, avenue de Messine,

75008 Paris

 

À partir du 14 septembre, la galerie Louis Carré & Cie présente une quinzaine de peintures en noir et blanc d’Erró. Habitués à des peintures très colorées, peu de gens le relient à des œuvres en noir et blanc. Au cours de sa longue carrière, Erró a pourtant réalisé quelques peintures en noir et blanc, dont certaines de très grandes dimensions. Cette série s’inscrit comme un prolongement de sa quête d’expérimentation unique, pour marquer son langage, pour accentuer les contrastes, pour ciseler l’image.

 

Guðmundur Guðmundsson – qui prendra plus tard le pseudonyme d’Erró – naît en 1932 à Ólafsvík, dans le nord-ouest de l’Islande. Admis à l’école des Beaux-Arts de Reykjavík en septembre 1949, il obtient le diplôme de professeur d’art au printemps 1951. En 1952, il se rend en Norvège où il étudie la gravure, la fresque et la peinture à l’académie à Oslo. Sa première exposition personnelle a lieu en 1955 à Florence, galleria Santa Trinità. En 1958, il se fixe à Paris où son travail est révélé dans le cadre de la Figuration narrative.

Au cours de ses voyages à travers le monde entier, Erró collecte des images (publicités, photos d’actualité, bandes dessinées, affiches, documents politiques) qui sont sa source d’inspiration. Il les choisit, les assemble, les accumule selon son bon plaisir – toujours avec humour, parfois avec angoisse et violence – sur les toiles pour former des tableaux qui sont autant à lire qu’à voir. La peinture est un lieu d’expérimentation, où il peut faire du vieux avec du neuf. Elle est la forme privée de l’utopie, le plaisir de contredire, le bonheur d’être seul contre tous, la joie de provoquer. Il révèle et dénonce les aberrations de notre société : consommation dirigée, érotisme mercantile, révolutions, américanisation de l’existence…

Dans certaines de ses compositions, il insère habilement des personnages de toiles de Ingres, Delacroix, Léger ou Picasso, lesquels se retrouvent cohabitant avec des stars du cinéma, des hommes politiques ou des héros de bandes dessinées.

Souvent, il travaille par séries : cycles chinois, politiques, érotiques.

J’ai besoin de matériel efficace et, au cours de mes voyages, je fouille partout chez les soldeurs de livres, dans les kiosques. J’accumule une quantité énorme de matériel, et lorsque j’ai réuni beaucoup d’images se rapportant à un thème, c’est signe de commencer une série. Le processus consiste ensuite à sélectionner les images, à les “marier” ensemble pour en faire des collages, puis des tableaux.

En juin 2001, la Collection Erró du musée de la Ville de Reykjavík est présentée au public dans son nouveau cadre à Hafnbarhúsid à la faveur d’une grande rétrospective.

De très nombreuses expositions sont consacrées à son œuvre tant en France qu’à l’étranger. Plusieurs rétrospectives lui ont été dédiées : en 1985 au musée d’art moderne de la Ville de Paris et en 1999 à la galerie nationale du Jeu de Paume. En 2005, le Musée d’art moderne et contemporain de Palma de Majorque ainsi que le Mannheimer Kunstverein présentent une exposition rétrospective (1958- 2004) puis l’IVAM à Valence et l’Alcalá 31 à Madrid en 2006.

© Galerie Louis Carré & Cie http://www.louiscarre.fr/expositions/erro-svart-og-hvitt

 

Rencontre avec des auteurs islandais à Paris

Rencontre avec des auteurs islandais

Le journal Le Monde organise dans le cadre du Monde festival une rencontre avec les romanciers islandais Auður Ava Ólafsdóttir et Arni Þorarinsson, le traducteur littéraire Eric Boury, et Mathias Malzieu, auteur-compositeur et chanteur du groupe de rock français Dionysos.

L’événement se tiendra samedi 6 octobre 2018 de 14h à 15h30 à l’Opéra Bastille (studio).

Réservation obligatoire

Rendez-vous du 5 au 7 octobre au Monde Festival 2018, dont le thème cette année est « Aimer ! » Le Monde festival propose des rencontres, des débats, des projections de films inédits, des spectacles.

Pour plus de renseignements :

https://www.lemonde.fr/festival/programmation.html

Expo sur les vikings à Nantes (44) jusqu’au 6 janvier 2019

SUR LES TRACES DES VIKINGS
En 843, la ville de Nantes subit l’assaut des hommes du nord, connus aujourd’hui sous le nom de vikings. Près de 1000 ans plus tard, quelles sont les traces de leur passage, à Nantes et dans la région ?
Emboîtez le pas des moines déplaçant des reliques de monastères en monastères, suivez des vikings s’installant sur l’île de Bièce, et découvrez des seigneurs rachetant leur liberté par dizaines de vaches. Comme un archéologue, soulevez, touchez et scannez des épées vikings pour faire parler le métal.
En collaboration avec le Musée Dobrée et en écho à l’exposition du Château des ducs de Bretagne (officiel) Nous les appelons Vikings.
INFOS PRATIQUES
→ du samedi 30 juin 2018 au dimanche 6 janvier 2019
→ Le Chronographe, 21 rue St Lupien, 44 400 Rezé
→ juillet & août : mardi au dimanche, 14h à 19h
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Parution du livre de Michel Sallé : Histoire de l’Islande, des origines à nos jours

Histoire de l’Islande : Des origines à nos jours
Par Michel Sallé et Æsa Sigurjónsdóttir
Edition Tallandier
Parution : 14 juin 2018
270 pages
20.50€
Baptisé « terre de glace » par les Vikings qui le colonisèrent en 874, ce bout de terre isolée au nord de l’océan Atlantique, aussi splendide qu’imprévisible, intrigue. Dès le Xe siècle, les Islandais affirment leur originalité en inventant l’un des parlements les plus anciens du monde.
« L’Alþingi » incarne l’esprit de ce peuple qui se pense d’abord comme une communauté et préfère, à l’autorité d’un roi, élaborer ses lois au sein d’une assemblée en plein air et en assurer lui-même l’exécution. Mais cet âge d’or, celui des Sagas – chefs-d’œuvre de la littérature médiévale et socle culturel –, prend fin au XIIIe siècle lorsque les clans dominants se déchirent et signent un pacte avec le roi norvégien. Elle n’aurait pu rester qu’une colonie mais c’était sans compter sur la détermination tenace de ses habitants qui obtiendront de haute lutte leur indépendance de la Couronne danoise, en 1944.
De la colonisation à l’adhésion forcée au protestantisme, en passant par les « guerres de la morue », la « révolution des casseroles » ou la question de l’intégration dans l’Union européenne, voici l’étonnante destinée d’un peuple ingénieux, souvent menacé de disparition et fascinant par sa capacité à s’adapter. Les Islandais, 330 000 aujourd’hui, ont montré au cours des siècles une volonté hors norme à faire valoir leur identité et la démocratie pour devenir une nation moderne et prospère qui tient désormais son rang.
Histoire de l'Islande