Sortie de WINTER BROTHERS le 21 février 2018

WINTER BROTHERS est le premier film d’un jeune réalisateur islandais, par ailleurs artiste plasticien, Hylnur Palmason.
Il a été sélectionné au festival de Locarno où il a remporté quatre prix, dont celui du meilleur acteur et celui du meilleur film européen, primé également à Thessalonique,
sélectionné au festival Premiers Plans d’Angers…. La chef opératrice a par ailleurs été primée au prestigieux festival de chef opérateurs Camerimage.
Par ailleurs, le film est soutenu par Télérama, Sens Critique et Transfuge.
Emil travaille avec son frère dans une carrière de calcaire et vend aux mineurs l’alcool frelaté qu’il fabrique. Les relations changent lorsque la mixture préparée par Emil est accusée d’avoir empoisonné l’un d’entre eux.

Conférence filmée : Islande, au gré des vents à St Chamond (42)

Conférence filmée : Islande, au gré des vents à St Chamond (42)
Une longue errance à travers l’Islande : déserts de cendre, glaciers, îles battues par les vents, falaises et colonies d’oiseaux marins…
L’extraordinaire beauté de la nature justifie amplement tous les voyages en Islande mais elle tient trop souvent le visiteur à l’écart de ses habitants.
L’extrême pauvreté des Islandais durant des siècles, l’âpreté du climat, l’isolement, ont forgé des caractères rudes mais la réserve naturelle des Islandais n’exclut pas le sens de l’accueil. Des jours sans fin de l’été aux lumières crépusculaires de l’hiver, une découverte en profondeur de l’Islande et des Islandais.
Les auteurs
Annie et Pierre Régior ont la passion du voyage. Ils ont pour cette île une attirance particulière. Leur film « Islande, au gré des vents » est le récit d’un an de pérégrinations du cœur de l’hiver aux jours sans fin de l’été boréal.
Le 12 décembre
Ciné Lumière
54 Boulevard Waldeck Rousseau

Ciné-Conférence à Jonzac (17)

Projection images et cultures du monde du film documentaire «Islande» de Claude Hervé.
Paysages spectaculaires, cascades grandioses, hordes de chevaux sauvages, climat rigoureux, gués à franchir, fjords, volcans, geysers, glaciers, l’Islande se dévoile peu à peu. Ici, c’est un lac parsemé d’icebergs, là, les eaux turquoises du fameux lagon bleu, un troupeau de rennes, un vol de macareux.
Un voyage en terre inconnue où le temps est si capricieux que l’on passe de la tempête de neige à un ciel limpide en cinq minutes. Une aventure au cœur d’une nature encore vierge et difficilement accessible.
Le 14 décembre à 18h30
Cinéma Familia
1 rue St Gervais
17500 Jonzac
Renseignements et billetterie : 05 46 49 99 45

Soirée de présentation des Boréales de Caen (14)

Soirée de présentation des Boréales de Caen
Le festival Les Boréales dévoilera, durant cette traditionnelle soirée, la programmation de sa 26e édition. Ce moment sera riche en surprises et sera suivi du ciné-concert Voyage au centre de la terre.
Voyage au centre de la terre
Réalisé par Henry Levin. 1959
Mis en musique par Romain Camiolo et Igor Troppe
Création originale – Commande de l’Orchestre Régional de Normandie.
Collaboration avec le CNSM de Lyon
Direction Orchestre Régional de Normandie : Nicolas Kruger
Dans la petite maison du vieux quartier de Hambourg où Axel, jeune homme assez timoré, travaille avec son oncle, l’irascible professeur Lidenbrock, géologue et minéralogiste, dont il aime la pupille, la charmante Graüben, l’ordre des choses est soudain bouleversé.
Dans un vieux manuscrit, Lidenbrock trouve un cryptogramme. Arne Saknussemm, célèbre savant islandais du xvie siècle, y révèle que par la cheminée du cratère du Sneffels, volcan éteint d’Islande, il a pénétré jusqu’au centre de la Terre !
Lidenbrock s’enflamme aussitôt et part avec Axel pour l’Islande où, accompagnés du guide Hans, aussi flegmatique que son maître est bouillant, ils s’engouffrent dans les mystérieuses profondeurs du volcan…
« Ce film est l’une des meilleures adaptations de Jules Verne à l’écran. Et une étrange pépite dans la carrière de Henry Levin, habitué aux navets. Sans doute faut-il créditer ses collaborateurs de cette réussite, à commencer par le scénariste et producteur Charles Brackett, qui a pris des libertés avec le roman, mais en a parfaitement respecté l’esprit. James Mason (le Nemo de 20 000 Lieues sous les mers, de Richard Fleischer) apporte cette malice flegmatique propre aux plus délicieux récits d’extrapolations scientifiques.
La qualité des décors et des trucages, au charme rétro, reflète sans les trahir les rêves suscités par le livre : les images de forêts minérales, algues phosphorescentes, déserts de sel, cavernes plantées de champignons géants, repaires de monstres préhistoriques sont de celles qui s’incrustent dans l’imaginaire du spectateur ayant gardé son âme d’enfant. » Télérama

http://www.lesboreales.com/
Entrée gratuite

Comédie de Caen – CDN de Normandie
1 square du théâtre,
14200 Hérouville-Saint-Clair

Soirée de présentation des Boréales de Caen 2017

Jeudi 12 octobre 2017, le festival Les Boréales dévoilera, durant cette traditionnelle soirée, la programmation de sa 26e édition. Ce moment, riche en surprises, sera suivi du ciné-concert Voyage au centre de la terre.

Voyage au centre de la terre

centre

Réalisé par Henry Levin. 1959 – 132 min Mis en musique par Romain Camiolo et Igor Troppe Création originale – Commande de l’Orchestre Régional de Normandie

Le professeur Oliver Lindenbrook, convaincu que l’explorateur Arne Saknussem, porté disparu, est parvenu au centre de la Terre, quitte Edimbourg avec ses camarades Alec McEwen, Jenny, Carla Goetaborg et Hans Belker. Ensemble, ils entreprennent un extraordinaire périple dans les profondeurs de la Terre.

Collaboration avec le CNSM de Lyon Direction Orchestre Régional de Normandie : Nicolas Kruger Avec : les musiciens de l’Orchestre Régional de Normandie

Jeudi 12 octobre Comédie de Caen

Théâtre d’Hérouville Réservation non ouverte

 

« Ce film est l’une des meilleures adaptations de Jules Verne à l’écran. Et une étrange pépite dans la carrière de Henry Levin, habitué aux navets. Sans doute faut-il créditer ses collaborateurs de cette réussite, à commencer par le scénariste et producteur Charles Brackett, qui a pris des libertés avec le roman, mais en a parfaitement respecté l’esprit. James Mason (le Nemo de 20 000 Lieues sous les mers, de Richard Fleischer) apporte cette malice flegmatique propre aux plus délicieux récits d’extrapolations scientifiques. La qualité des décors et des trucages, au charme rétro, reflète sans les trahir les rêves suscités par le livre : les images de forêts minérales, algues phosphorescentes, déserts de sel, cavernes plantées de champignons géants, repaires de monstres préhistoriques sont de celles qui s’incrustent dans l’imaginaire du spectateur ayant gardé son âme d’enfant. » Télérama