"L'esclave islandaise" de Steinunn Jóhannesdóttir
Publié : 09 août 2017, 20:21
Un peu d'histoire d'Islande...
Cette fresque romanesque est inspirée d'un fait historique sûrement peu connu de l'histoire islandaise, "le raid Turc": L'été 1627, des navires corsaires venus de Salé sur la côte atlantique du Maroc arrivent en Islande, à Grendavik, saccagent et capturent un certain nombre d'Islandais puis des corsaires sur d'autres navires débarquent aux Westmann, se livrent au pillage et capturent environ 400 islandais qu'ils emmènent à Alger où les captifs sont vendus comme esclave. L'esclave la plus célèbre fut Guðriður Simonardóttir vendue comme esclave à Alger et rachetée neuf ans plus tard par le roi Christian IV de Danemark. Elle épousa en secondes noces le poète Hallgrimur Pétursson.
Steinunn Jóhannesdóttir a choisi d'en raconter l'histoire dans une version romanesque sans s'affranchir du fait historique. Le 2ème volume sortira en septembre.
Traduit avec bonheur par Eric Boury.
Dans sa thèse , Leila Maziane, docteur en Histoire de l'Université de Caen, retrace la vie des corsaires de Salé.
Cette fresque romanesque est inspirée d'un fait historique sûrement peu connu de l'histoire islandaise, "le raid Turc": L'été 1627, des navires corsaires venus de Salé sur la côte atlantique du Maroc arrivent en Islande, à Grendavik, saccagent et capturent un certain nombre d'Islandais puis des corsaires sur d'autres navires débarquent aux Westmann, se livrent au pillage et capturent environ 400 islandais qu'ils emmènent à Alger où les captifs sont vendus comme esclave. L'esclave la plus célèbre fut Guðriður Simonardóttir vendue comme esclave à Alger et rachetée neuf ans plus tard par le roi Christian IV de Danemark. Elle épousa en secondes noces le poète Hallgrimur Pétursson.
Steinunn Jóhannesdóttir a choisi d'en raconter l'histoire dans une version romanesque sans s'affranchir du fait historique. Le 2ème volume sortira en septembre.
Traduit avec bonheur par Eric Boury.
Dans sa thèse , Leila Maziane, docteur en Histoire de l'Université de Caen, retrace la vie des corsaires de Salé.