Bien sûr les paysages différents sous le manteau blanc mais les photos de steve austin les illustrent mieux que je ne pourrais le faire.
La météo aussi changeante mais dans un registre plus élevé: soleil, froid sec,-8°


La conduite: ah ça c'est aussi l'aventure! Départ sur une route dégagée: forcément c'est Reykjavik. Direction Bogarnes et les phoques de Chris! Ben on n'a pas vu les phoques parce que déjà le pont de Bogarnes, il fallait le deviner sous la neige et brouillard. Alors stop à la N1: toujours centre de vie et réflexion... Ceci fait, le ciel se dégageait laissant le panorama nous allécher et hop on repartait confiant. Et là, l'enfer blanc de la péninsule:

Le contact avec les Islandais hors période d'affluence touristique se révèle encore plus attentif et simple, notamment dans un contexte de ville:bien sûr dans les piscines mais aussi au concert lyrique (gratuit), au restaurant (nous sommes repartis avec des adresses mail!)Bon , peut-être excepté le non sourire des caissiers/caissières de Bonus.. NB: je n'ai jamais vu autant d'Islandais payer en liquide !!

Ah la lumière ! ! déjà présente en ce début mars : luminosité assurée de 8 heures le matin à 7 heures le soir (c'est vrai que sur 7 jours, nous avons profité de 6 jours de soleil majoritaire avec pour parfaire le tout la neige la nuit) d'où une mise à profit maximale..En nocturne, c'est le vert fluo des aurores boréales: simplement à la sortie des lumières de la ville: bon n'exagérons pas , on ne pourrait tout de même pas y lire.Et désolée:

Superbes souvenirs de vacances en famille en appartement hotel à Hafnarfjordur (périphérie plus humaine sur le plan contact), et un grand merci à Reykjavikrentacar qui nous a fourni un véhicule 4X4 sûr que nous avions surnommé le refuge.
