Kristin Marja Baldursdottir
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Kristin Marja Baldursdottir
En cours de traduction par Henry Kiljan Albansson un "double national" de la capitale islandaise), Karitas sortira courant 2008 (été ?) chez Gaïa.
Voilà, c'est sorti, je l'ai vu hier en librairie
http://www.amazon.fr/Karitas-titre-Kris ... 338&sr=8-3
http://www.amazon.fr/Karitas-titre-Kris ... 338&sr=8-3
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- Enregistré le : 25 oct. 2008, 08:19
littérature islandaise
Je viens de finir la lecture de "Karitas, sans titre" de Kristin Marja Baldursdottir, qui vient de paraître en français aux éditions Gaïa :
Attention chef d'oeuvre !
Ecriture superbe, empreinte de poésie, construction magistrale, personnages lumineux et très attachants, originaux et déterminés, dans une Islande rurale au début du siècle, rude, courageuse, forte ;
Un gros roman à dévorer par tous les amoureux de l'Islande.
Probablement très bien traduit.
Attention chef d'oeuvre !
Ecriture superbe, empreinte de poésie, construction magistrale, personnages lumineux et très attachants, originaux et déterminés, dans une Islande rurale au début du siècle, rude, courageuse, forte ;
Un gros roman à dévorer par tous les amoureux de l'Islande.
Probablement très bien traduit.
Tout à fait d'accord avec le commentaire précédent. De loin le meilleur livre islandais que j'ai jamais lu.
Le (début du) quatrième de couverture :
"Karitas grandit avec sa mère et ses frères et soeurs dans une modeste ferme au fond d'un fjord dans l'ouest de l'Islande. Le père, comme beaucoup de courageux marins, est disparu en mer. En 1915, la mère décide de partir pour le nord et d'offrir à ses six enfants des études. Défi insensé pour l'époque. Tous vont devoir travailler dur, et se montrer à la hauteur d'une tenacité maternelle sans faille."
On s'habitue vite aux pages roses de l'éditeur Gaïa, imprimé ainsi car "le coefficient de lisibilité est en effet jugé optimal, sous condition d'un bon éclairage ambiant".
Le (début du) quatrième de couverture :
"Karitas grandit avec sa mère et ses frères et soeurs dans une modeste ferme au fond d'un fjord dans l'ouest de l'Islande. Le père, comme beaucoup de courageux marins, est disparu en mer. En 1915, la mère décide de partir pour le nord et d'offrir à ses six enfants des études. Défi insensé pour l'époque. Tous vont devoir travailler dur, et se montrer à la hauteur d'une tenacité maternelle sans faille."
On s'habitue vite aux pages roses de l'éditeur Gaïa, imprimé ainsi car "le coefficient de lisibilité est en effet jugé optimal, sous condition d'un bon éclairage ambiant".