La rivière noire
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La rivière noire
Le 3 février 2011 paraîtra "La rivière noire" de notre ami Arnaldur Indridason, traduit par Eric Boury.
Dans un appartement à proximité du centre de la ville, un jeune homme gît, mort, dans un bain de sang sans qu?il y ait le moindre signe d?effraction ou de lutte. Aucune arme du crime, rien que cette entaille en travers de la gorge de la victime, entaille que le légiste qualifie de douce, presque féminine. Dans la poche de Runolfur, des cachets de Rohypnol, médicament également connu sous le nom de drogue du viol? Il semblerait que Runolfur ait violé une femme et que celle-ci se soit ensuite vengée de son agresseur.
Un châle pourpre trouvé sous le lit dégage un parfum puissant et inhabituel d?épices, qui va mettre Elinborg, l?inspectrice, amateur de bonne cuisine, sur la piste d?une jeune femme. Mais celle-ci ne se souvient de rien, et bien qu?elle soit persuadée d?avoir commis ce meurtre rien ne permet vraiment de le prouver. La fiole de narcotiques trouvée parmi d?autres indices oriente les inspecteurs vers des violences secrètes et des sévices psychologiques.
En l?absence du commissaire Erlendur, parti en vacances, toute l?équipe va s?employer à comprendre le fonctionnement de la violence sexuelle, de la souffrance devant des injustices qui ne seront jamais entièrement réparées, et découvrir la rivière noire qui coule au fond de chacun.
Dans un appartement à proximité du centre de la ville, un jeune homme gît, mort, dans un bain de sang sans qu?il y ait le moindre signe d?effraction ou de lutte. Aucune arme du crime, rien que cette entaille en travers de la gorge de la victime, entaille que le légiste qualifie de douce, presque féminine. Dans la poche de Runolfur, des cachets de Rohypnol, médicament également connu sous le nom de drogue du viol? Il semblerait que Runolfur ait violé une femme et que celle-ci se soit ensuite vengée de son agresseur.
Un châle pourpre trouvé sous le lit dégage un parfum puissant et inhabituel d?épices, qui va mettre Elinborg, l?inspectrice, amateur de bonne cuisine, sur la piste d?une jeune femme. Mais celle-ci ne se souvient de rien, et bien qu?elle soit persuadée d?avoir commis ce meurtre rien ne permet vraiment de le prouver. La fiole de narcotiques trouvée parmi d?autres indices oriente les inspecteurs vers des violences secrètes et des sévices psychologiques.
En l?absence du commissaire Erlendur, parti en vacances, toute l?équipe va s?employer à comprendre le fonctionnement de la violence sexuelle, de la souffrance devant des injustices qui ne seront jamais entièrement réparées, et découvrir la rivière noire qui coule au fond de chacun.
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En attendant le 3 février, voici un article paru dans "Libération" : http://www.editions-metailie.com/pdf/LI ... 240710.pdf
Myriaðe (Mýgrútur)
Cette semaine, une critique élogieuse de "La rivière noire" dans la rubrique Lettres ou pas Lettres du Canard Enchaîné. En cherchant l'article sur internet, pour ne pas avoir à le copier, je suis tombé sur le blog d'Eric Boury: http://ericboury.blogspot.com/ Peut-être le mettra t-il en ligne comme il l'avait fait pour "Hypothermie".
Donc, après avoir fini le Canard (plutôt le matin au petit déjeuner) et "La rivière noire" (plutôt le soir sous la couette), je dois dire que j'ai bien aimé ce roman et que j'ai apprécié de découvrir le personnage d'Elinborg. J'ai beaucoup aimé la description et la façon de voir les petites communautés islandaises dans les villages, murées dans le silence, même face à l'horreur. L'absence d'Erlendur, semble t-il, donnera vie à une nouvelle intrigue (ceux qui l'ont lu comprendront). J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman.