Soirée poésie et dédicace par Thór Stefánsson à la Bibliothèque nordique (75)

Soirée poésie et dédicace par Thór Stefánsson à la Bibliothèque nordique (75)
Lecture de poèmes en islandais et en français et dédicace du recueil paru aux éditions de l’Harmattan : « L’Amour et la vie… et d’autres poèmes », de Thór Stefánsson.
Le recueil « L’Amour et la vie… et d’autres poèmes » vient de paraître pour la première fois en français et en islandais. L’amour est l’un des thèmes de prédilection du poète islandais Thór Stefánsson, mais tous les aspects de la vie ont droit de cité dans son oeuvre. Plusieurs poèmes se réfèrent à la vie et à l’art de Paris, où ils ont été composés.
Mercredi 11 octobre à 18h15
En salle de lecture de la Bibliothèque nordique, entrée libre, réservation souhaitée :
6, rue Valette
75005 Paris
01.44.41.97.50
bsgnordique@univ-paris3.fr

Soirée de présentation des Boréales de Caen (14)

Soirée de présentation des Boréales de Caen
Le festival Les Boréales dévoilera, durant cette traditionnelle soirée, la programmation de sa 26e édition. Ce moment sera riche en surprises et sera suivi du ciné-concert Voyage au centre de la terre.
Voyage au centre de la terre
Réalisé par Henry Levin. 1959
Mis en musique par Romain Camiolo et Igor Troppe
Création originale – Commande de l’Orchestre Régional de Normandie.
Collaboration avec le CNSM de Lyon
Direction Orchestre Régional de Normandie : Nicolas Kruger
Dans la petite maison du vieux quartier de Hambourg où Axel, jeune homme assez timoré, travaille avec son oncle, l’irascible professeur Lidenbrock, géologue et minéralogiste, dont il aime la pupille, la charmante Graüben, l’ordre des choses est soudain bouleversé.
Dans un vieux manuscrit, Lidenbrock trouve un cryptogramme. Arne Saknussemm, célèbre savant islandais du xvie siècle, y révèle que par la cheminée du cratère du Sneffels, volcan éteint d’Islande, il a pénétré jusqu’au centre de la Terre !
Lidenbrock s’enflamme aussitôt et part avec Axel pour l’Islande où, accompagnés du guide Hans, aussi flegmatique que son maître est bouillant, ils s’engouffrent dans les mystérieuses profondeurs du volcan…
« Ce film est l’une des meilleures adaptations de Jules Verne à l’écran. Et une étrange pépite dans la carrière de Henry Levin, habitué aux navets. Sans doute faut-il créditer ses collaborateurs de cette réussite, à commencer par le scénariste et producteur Charles Brackett, qui a pris des libertés avec le roman, mais en a parfaitement respecté l’esprit. James Mason (le Nemo de 20 000 Lieues sous les mers, de Richard Fleischer) apporte cette malice flegmatique propre aux plus délicieux récits d’extrapolations scientifiques.
La qualité des décors et des trucages, au charme rétro, reflète sans les trahir les rêves suscités par le livre : les images de forêts minérales, algues phosphorescentes, déserts de sel, cavernes plantées de champignons géants, repaires de monstres préhistoriques sont de celles qui s’incrustent dans l’imaginaire du spectateur ayant gardé son âme d’enfant. » Télérama

http://www.lesboreales.com/
Entrée gratuite

Comédie de Caen – CDN de Normandie
1 square du théâtre,
14200 Hérouville-Saint-Clair

Expo photos à Marseille jusqu’au 22 septembre 17

L’exposition de photos de Christophe Pinatel, « Islande, terre de contrastes », fait escale à  Marseille jusqu’au 22 septembre 2017.

C’est au 96 de la Canebière, au sein du Centre Régional Information Jeunesse Provence Alpes (CRIJPA), que cette exposition a été installée sous le parrainage du Consul d’Islande de Marseille. Le temps de découvrir des clichés exceptionnels de ce pays aux paysages forts et contrastés pris par un photographe complice de la magie des lieux.

pina

L’Islande, terre de contraste, est un pays où toutes les forces des éléments de la terre se concentrent : la terre, l’eau, l’air et le feu, dans une parfaite opposition qui confère pourtant à l’équilibre. A voir ses photos, l’on comprend mieux le photographe, sa quête dans cette île, où son regard ne s’est posé que sur l’infini. Christophe Pinatel ne fait pas des photos de voyage, il part en voyage pour faire des photos. Il s’y prépare comme un athlète pour qu’une fois sur place, rien ne vienne troubler ses attentes quelquefois longues, dans des conditions difficiles voire extrêmes, pour la prise d’un cliché. Spectateur fasciné par la nature, saisi par des instantanés époustouflants, le photographe tend à s’approcher au plus près de son environnement, cherchant dans ses terres froides, la perfection du minimalisme qui remplira alors, à  lui seul, son objectif.

Mireille SANCHEZ